mercredi 20 octobre 2010

"La plupart des pédophiles sont catholiques", par Monsieur Bernard (avril 2010)

« Il faut être honnête. Moi, je suis un peu catholicophobe. Cela ne me gêne pas de le dire. » A l'image de Claude Imbert, journaliste au Point, nombre d'intellectuels français n'hésitent plus à déclarer leur haine de la religion catholique. D'Ivan Rioufol à Elisabeth Lévy en passant par Philippe Val et Eric Zemmour donc, les médias français tirent à boulets rouges sur ces catholiques "qui se multiplient comme des rats". Et derrière ces leaders d'opinion, c'est tout le pays qui connaît une inquiétante poussée de fièvre anti-catholiques. Les scandales pédophiles à répétition ont évidemment mis le feu aux poudres, mais c'est bel et bien l'éternelle question de l'intégration des catholiques à la République qui ressurgit.



Là ça va trop loin

Discriminations à l'embauche (impossible pour un catholique de devenir assistant-maternelle par exemple), violences, profanations d'Églises, stigmatisations...la liste des difficultés rencontrées par les catholiques de France est longue. Du côté de la Conférence des Évêques de France (CEF), on déplore bien sûr ces difficultés. "Les catholiques sont victimes d'amalgames honteux. Il ne faut pas confondre notre religion qui prône l'amour et la paix avec ce qu'en a fait une minorité d'intégristes. Je le dis et le répète, la bible ne prône pas la pédophilie" s'est emporté Monseigneur André Vingt-Trois. "Les catholiques ne demandent qu'à s'intégrer et à respecter les lois de leur pays d'accueil".

Benoît XVI craint un châtiment physique

Malgré cette mise au point, le monde politique s'est emparé de la polémique. Après avoir "fermement condamné" les violences"intolérables" dont sont victimes les catholiques, le président Nicolas Sarkozy a tenu à adresser un rappel aux règles républicaines : "Je suis garant de l'unité nationale, et à ce titre je voudrais simplement dire ceci. En France, on ne tripote pas les enfants dans sa baignoire". Du côté de l'UMP, même si on se félicite de l'intervention présidentielle, on entend enfoncer le clou. Ainsi, Jean-François Copé a annoncé qu'une proposition de loi visant à exclure de l'école les enfants victimes de violence pédophile serait prochainement examinée. "L'école est un sanctuaire et à ce titre, on ne peut y tolérer aucune forme de prosélytisme. Un enfant qui arborerait fièrement son viol catholique serait automatiquement renvoyé".

"This is sperm"

Mais sur le front de la pédophilie, la France n'entend pas agir seule. Il se dit de l'autre côté de l'Atlantique, qu'une vaste coalition emmenée par les États-unis solliciterait l'accord de l'ONU pour envahir le Vatican et traquer Benoît XVI et ses hordes de pédophiles kamikazes. Au risque de l'enlisement. Sur fond de Guerre à la Pédophilie, les catholiques n'ont pas fini de payer.


Source: http://onsefechier-anatic6.blogspot.com/2010/04/la-plupart-des-pedophiles-sont.html?spref=fb

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